Florent Pagny "Huiti�me Merveille" |
(�lodie Hesme/John Mamann) Dans le sillage de son parfum, j'aurais pu la suivre des heures. Aujourd'hui, elle me vole le mien, quel bonheur ! Quelques fils d'argent viennent trahir l'insolence de ses cheveux noirs. Elle ne cherche plus � rajeunir, quel plaisir ! Bien moins d'effort sur la longueur, elle laisse aller sa vraie nature. �a m'bouleverse toujours quand elle pleure, �a, c'est s�r. La huiti�me merveille du monde, c'est une comtesse aux pieds nus. Une d�esse tomb�e des nues C'est toutes les femmes en une seule femme. La huiti�me merveille du monde, c'est une comtesse aux pieds nus. Une d�esse tomb�e des nues C'est toutes les femmes en une seule femme Et quelle femme, cette femme ! Des cinq �toiles, ouvrir la porte dans les ambiances chaudes et feutr�es. De nos caprices, payer la note, j'ai aim�. Et puis tout envoyer valser, les bonnes mani�res et le bitume Courir les terres inachev�es qu'elle parfume. Mais l� o� elle me d�sar�onne, l� o� je tombe � ses genoux C'est que plus rien ne l'impressionne � part nous. La huiti�me merveille du monde, c'est une comtesse aux pieds nus. Une d�esse tomb�e des nues C'est toutes les femmes en une seule femme. La huiti�me merveille du monde, c'est une comtesse aux pieds nus. Une d�esse tomb�e des nues, la puissance dans tout ce qu'elle s�me. La huiti�me merveille du monde, c'est une comtesse aux pieds nus. Une d�esse tomb�e des nues, la puissance dans tout ce qu'elle s�me Et cette femme, cette femme, c'est la mienne. Lyric from www.lyricmania.com |