Richard Gotainer "Caféine" |
Le tête en croix, dans mes chaussons, j'aspirais fort à l'allongeade Je me doutais pas que sous l'édredon, se tramait une embuscade Je me voyais parti pour la nuit, tant ma fatigue était énorme J'en étais tombé sur le lit comme un tampon de chloroforme. Au moment pile où je m'endors, j'en profite pour me réveiller Le regard monté sur ressort, le reste au ras du plafonnier J'ai dû m'en taper un de trop, c'est à chaque fois la même histoire Elle frappe la nuit et dans le dos, la félonie du café noir Elle choisit toujours bien son heure, l'autre empaffée de caféine Petit jus de percolateur, je te hais, toi et ta copine On croit s'assoupir en sursaut, on se réveille comme un cran d'arrêt Petit café, mon gros salaud, café de trop, que je le hais Caféine, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu Petit moka tu m'as moulu Moulu, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu Petit moka tu m'as moulu, je suis moulu, je suis foutu. Au moment pile où je m'endors, j'en profite pour me réveiller Le regard monté sur ressort, le reste au ras du plafonnier J'ai dû m'en taper un de trop, c'est à chaque fois la même histoire Elle frappe la nuit et dans le dos, la félonie du café noir Malheur à celui qui la nuit, a des retours de robusta Des insomnies pur Colombie, la fièvre de l'arabica Ça finit debout sur le lit, possédé par le cha-cha-cha Malheur à celui qui la nuit est poursuivi par un kawa Est poursuivi par un kawa Caféine, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu Petit moka tu m'as moulu Moulu, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu Petit moka tu m'as moulu, je suis moulu, je suis foutu. Au moment pile où je m'endors, je finis par me réveiller Caféine, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu Petit moka tu m'as moulu. Ça finit debout sur le lit, possédé par le cha-cha-cha Caféine, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu, moulu Petit moka tu m'as moulu On croit s'assoupir en sursaut, on se réveille comme un cran d'arrêt Caféine... Lyric from www.lyricmania.com |